Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 529 poèmes de 177 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
l’attraction de la mer la lune1 la rive2 des côtes cette3 sensualité4
l’homme n’a pas de mission un pur hasard né de l’univers en extension
nota bene 1. ce poème est écrit à l’encre bleue dans la moitié supérieure de la vingt-neuvième page d’un carnet de notes à spirale portant le logo “rfi”, offert à P. Vianna le 2 mai 2015 lors de sa participation à une émission sur les ondes de Radio France Internationale ; ce carnet, au format 13 cm x 14 cm, contient 96 pages lignées, soit 48 feuilles, de couleur blanche, entre deux couvertures en papier cartonné plastifié, l’une aux carrés multicolores, l’autre rouge, la deuxième et la troisième de couverture étant blanches ; outre dix-sept poèmes et les embryons des poèmes numérotés 46, 47 et 128 dans la section Les autres poèmes d’Éric Meyleuc de Poésie pour tous, ce carnet de notes contient des réflexions diverses, des aide-mémoire, des notes personnelles, des notes prises à partir de lectures, le tout écrit, entre, probablement, notre retour d’un séjour à Valencia (Espagne) du 10 au 14 juin 2016 et, sans aucun doute, le 17 mars 2017, date d’un relevé de tension artérielle figurant dans la quatre-vingt-onzième page du carnet, dont les cinq dernières pages sont restées vierges ; le poème que nous transcrivons ici n’est pas daté ; toutefois, il est postérieur aux premières notes prises lors de nos vacances dans le Trégor (Bretagne), au moulin de Ker Anio, du 27 juin au 17 juillet 2016 et antérieur à une note sur le quotidien, qui figure à la trente-neuvième page du carnet, précédée de la mention hier soir Dimanche 10 jt ; nous pouvons donc situer l’écriture de ce poème entre le 27 juin et le 11 juillet 2016 ; ce poème est également postérieur au poème numéroté 298 dans la présente section de Poésie pour tous et donc, comme pour ce dernier, il est même fort probable que le terminus post quem de son écriture est le 1er juillet 2016 ; la moitié inférieure de la page est partiellement occupée par trois vers de Tristan Corbière issus du poème La Rapsodie foraine et le Pardon de Sainte-Anne, qui fait partie du recueil Les amours jaunes : « Cet autre pare le cautère / De son petit enfant malsain : / l’enfant se doit à son vieux père » ; ces vers sont suivis du commentaire : « (moi) rien à devoir ! / de céans ! » par ailleurs, notons que, dans le manuscrit, ce premier vers est réécrit par-dessus à l’identique 2. dans un premier temps, le poète avait écrit les rives, puis il a transformé les en la et a barré le “s” final de rives ; par ailleurs, dans le manuscrit, les mots la rive sont réécrits par-dessus à l’identique ; peut-être les mots des côtes ont-ils été écrits dans un deuxième temps 3. dans le manuscrit, le démonstratif cette est réécrit par-dessus à l’identique 4. dans le manuscrit, la manière dont est écrit le mot sensualité pourrait faire croire que le poète avait d’abord eu l’intention d’écrire sensuelles, mais que, dans le même mouvement, il a décidé de transformer le “e” en “a” pour écrire sensualité ; cela nous autorise à nous demander si le démonstratif cette n’aurait pas été ajouté dans un deuxième temps éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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