Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 448 poèmes de 176 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
jour sans plaisir1 nous le fuyons dans2 l’indifférence à la souffrance des autres d’un narcissisme poussé à l’extrême de la réussite sociale qui chie la misère3
nota bene 1. ce poème est écrit à l’encre bleue dans les deuxième et troisième quarts de la vingt-sixième page d’un carnet de notes à spirale portant le logo “rfi”, offert à P. Vianna le 2 mai 2015 lors de sa participation à une émission sur les ondes de Radio France Internationale ; ce carnet, au format 13 cm x 14 cm, contient 96 pages lignées, soit 48 feuilles, de couleur blanche, entre deux couvertures en papier cartonné plastifié, l’une aux carrés multicolores, l’autre rouge, la deuxième et la troisième de couverture étant blanches ; outre dix-sept poèmes et les embryons des poèmes numérotés 46, 47 et 128 dans la section Les autres poèmes d’Éric Meyleuc de Poésie pour tous, ce carnet de notes contient des réflexions diverses, des aide-mémoire, des notes personnelles, des notes prises à partir de lectures, le tout écrit, entre, probablement, notre retour d’un séjour à Valencia (Espagne) du 10 au 14 juin 2016 et, sans aucun doute, le 17 mars 2017, date d’un relevé de tension artérielle figurant dans la quatre-vingt-onzième page du carnet, dont les cinq dernières pages sont restées vierges ; le poème que nous transcrivons ici n’est pas daté ; toutefois, il est postérieur aux premières notes prises lors de nos vacances dans le Trégor (Bretagne), au moulin de Ker Anio, du 27 juin au 17 juillet 2016 et antérieur à une note sur le quotidien, qui figure à la trente-neuvième page du carnet, précédée de la mention hier soir Dimanche 10 jt nous pouvons donc situer l’écriture de ce poème entre le 27 juin et le 11 juillet 2016 ; ce poème est également postérieur au poème numéroté 298 dans la présente section de Poésie pour tous et donc, comme pour ce dernier, il est même fort probable que le terminus post quem de son écriture est le 1er juillet 2016 ; enfin, ce poème est précédé d’un trait horizontal qui le sépare de la fin du poème numéroté 300 dans la présente section de Poésie pour tous et est suivi d’un autre trait horizontal qui le sépare du début d’une note personnelle occupant la fin de la vingt-sixième page du carnet et les deux pages suivantes par ailleurs, notons que, dans le manuscrit, à part le deuxième vers (cf. la note suivante) et la partie barrée du dernier (cf. la note 3 ci-dessous), tous les autres mots du poème sont réécrits par-dessus à l’identique 2. il semblerait que ce vers a été ajouté ; quoi qu’il en soit, comme indiqué dans la note précédente, il est le seul vers, avec la partie barrée du dernier (cf. la note suivante), à ne pas être réécrit par-dessus à l’identique 3. dans un premier temps, le poète avait écrit se nourrissant de la misère, puis il a barré les mots se nourrissant de et a écrit qui chie en dessous du premier mot barré ; les mots ajoutés et les mots la misère, comme tout le reste du texte, à l’exception des mots barrés et du deuxième vers (cf. la note précédente), sont réécrits par-dessus à l’identique éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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