Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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Odyssée du temps libre1 à la recherche
d’un rêve perdu
celui du temps libre
le temps libre s’était à jamais perdu dans un rêve oublié
il se cherchait un mythe qui le valoriserait aux yeux des travailleurs2 acharnés à gagner leur confort matériel
il en avait perdu le rêve la vie3 c’était trop de temps perdu temps dévoyé
nota bene 1. ce poème est écrit au crayon noir dans la totalité de la troisième page et la première ligne de la quatrième d’un carnet de notes à spirale portant le logo “rfi”, offert à P. Vianna le 2 mai 2015 lors de sa participation à une émission sur les ondes de Radio France Internationale ; ce carnet, au format 13 cm x 14 cm, contient 96 pages lignées, soit 48 feuilles, de couleur blanche, entre deux couvertures en papier cartonné plastifié, l’une aux carrés multicolores, l’autre rouge, la deuxième et la troisième de couverture étant blanches ; outre dix-sept poèmes et les embryons des poèmes numérotés 46, 47 et 128 dans la section Les autres poèmes d’Éric Meyleuc de Poésie pour tous, ce carnet de notes contient des réflexions diverses, des aide-mémoire, des notes personnelles, des notes prises à partir de lectures, le tout écrit, entre, probablement, notre retour d’un séjour à Valencia (Espagne) du 10 au 14 juin 2016 et, sans aucun doute, le 17 mars 2017, date d’un relevé de tension artérielle figurant dans la quatre-vingt-onzième page du carnet, dont les cinq dernières pages sont restées vierges ; le poème que nous transcrivons ici n’est pas daté ; toutefois, il est antérieur aux premières notes prises lors de nos vacances dans le Trégor (Bretagne), au moulin de Ker Anio, du 27 juin au 17 juillet 2016 et postérieur à quelques notes liées au travail du poète dans une bibliothèque universitaire prises sans doute avant ces vacances ; nous pouvons donc situer l’écriture de ce poème entre le 15 et le 26 juin 2016 ; notons que, dans la troisième page du carnet, le poème est bordé à gauche de trois traits verticaux tracés de haut en bas de la page, des traits horizontaux au crayon noir renforçant la partie des lignes du carnet située entre les deux premiers traits verticaux, et que toute la quatrième page du carnet est restée vierge, à part la première ligne qui contient le dernier vers du poème, lequel est surmonté de deux lignes courbes horizontales entrelacées allant d’un bord à l’autre de la page et partant d’une sorte de spirale emplie de rayons située dans le coin supérieur gauche de la page 2. dans le manuscrit, le mot travailleurs est abrégé en Weurs 4. la vie est une lecture en partie conjecturale éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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