Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 448 poèmes de 176 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
qui de l’arbre ou1 de la pierre soutient l’autre2 la pierre à laquelle l’arbre s’agrippe entourant de ses racines la pierre profitant des moindres de ses fissures élargies par l’action de l’érosion sa propre action
maintenant3 un muret fait avec arbres4 la recouvre décor familial5
nota bene 1. ce poème est écrit au feutre fin bleu dans les deuxième, troisième et quatrième cinquièmes du verso d’une feuille issue d’un carnet de notes à spirale au format 11,4 cm x 18 cm, aux pages de couleur blanche contenant des poèmes, des réflexions diverses, des notes prises à partir de lectures, le tout écrit entre le début de 2010 et le début de 2017 ; il s’agit de la sixième page d’une série de huit, sur lesquelles figurent huit poèmes qui se succèdent, à part une note de réflexion politique au sujet d’un texte que lisait alors le poète, située entre le quatrième et le cinquième poème ; dans la présente section de Poésie pour tous, nous transcrivons ces poèmes de façon également successive à partir du poème numéroté 103 jusqu’au poème numéroté 110 ; le début du poème est séparé de fin de la note mentionnée ci-avant par un trait horizontal et un trait vertical borde à gauche les quatre premiers vers, alors qu’un autre fait de même à droite, le long des trois premiers vers ; la fin du poème est indiquée par un trait horizontal séparant le texte du poème numéroté 108 dans la présente section de Poésie pour tous, lequel occupe le dernier cinquième de la page ; aucun indice ne nous permet d’avancer une date pour l’écriture du poème transcrit ici, mais la thématique de cinq des huit poèmes de cette séquence (du deuxième au sixième) et les éléments concrets qu’ils contiennent pourraient conduire à situer leur écriture durant l’été 2015, au cours duquel, logés à Picherande du 3 au 24 août, pendant trois semaines nous avons randonné dans le Massif central, entre Cantal et Puy-de-Dôme ; en outre, la thématique des deux derniers poèmes de la série, numérotés 109 et 110 dans la présente section de Poésie pour tous, recouvre celle du spectacle que nous préparions à cette époque-là, Danger. Urgence !, que nous avons joué en novembre 2015 et dont l’ébauche du début figure dans le même carnet ; par ailleurs, dans ce vers et dans les deux suivants, les mots sont soulignés tels que nous les reproduisons ici 2. dans le manuscrit, ce vers est réécrit par-dessus à l’identique 3. ce vers et les cinq suivants sont écrits dans la marge de gauche, sans aucune indication de leur emplacement ; le sens général du poème nous a conduit à les placer à la fin 4. lecture fort conjecturale 5. ce vers résulte d’une lecture conjecturale, car le dernier mot est difficilement lisible ; s’il s’agit vraiment de familial, ce mot est écrit de façon étrange, le deuxième “i" ressemblant au “l” qui le précède et le mot paraissant se terminer par un “e”, ce qui pourrait résulter d'un manque d'attention ; on pourrait peut-être lire de son feuillage, mais alors le problème viendrait de la forme du “g” qui, dans le manuscrit, semble vraiment être l’une des formes que donne le poète à ses “l” éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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