Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 547 poèmes de 177 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
le temps 1 volé2 d’une vie passée2 au travail3 forcé
nota bene 1. ce poème est écrit au feutre fin bleu dans le premier tiers du recto d’une feuille issue d’un carnet de notes à spirale au format 11,4 cm x 18 cm, aux pages de couleur blanche contenant des poèmes, des réflexions diverses, des notes prises à partir de lectures, le tout écrit entre le début de 2010 et le début de 2017 ; il s’agit de la septième page d’une série de huit, sur lesquelles figurent huit poèmes qui se succèdent, à part une note de réflexion politique au sujet d’un texte que lisait alors le poète, située entre le quatrième et le cinquième poème ; dans la présente section de Poésie pour tous, nous transcrivons ces poèmes de façon également successive à partir du poème numéroté 103 jusqu’au poème numéroté 110 ; le poème transcrit ici est suivi dans la page du début de celui numéroté 110 dans la présente section de Poésie pour tous, lequel occupe le reste du recto ainsi que tout le verso de la page ; les deux textes sont séparés par un trait horizontal qui forme la partie inférieure d’un dessin représentant ce qui pourrait être un visage stylisé entourant le texte par sa gauche et qui intègre les traits de soulignement du premier vers ; aucun indice ne nous permet d’avancer une date pour l’écriture du poème transcrit ici, mais la thématique de cinq des huit poèmes de cette séquence (du deuxième au sixième) et les éléments concrets qu’ils contiennent pourraient conduire à situer leur écriture durant l’été 2015, au cours duquel, logés à Picherande du 3 au 24 août, pendant trois semaines nous avons randonné dans le Massif central, entre Cantal et Puy-de-Dôme ; en outre, la thématique des deux derniers poèmes de la série, celui-ci et le suivant, numéroté 110 dans la présente section de Poésie pour tous, recouvre celle du spectacle que nous préparions à cette époque-là, Danger. Urgence !, que nous avons joué en novembre 2015 et dont l’ébauche du début figure dans le même carnet ; par ailleurs, dans le manuscrit, ce premier vers est souligné tel que nous le reproduisons ici 2. le poète avait écrit dans un premier temps volée, qui ne constituait pas un vers en soi, car le mot était écrit dans l’interligne supérieur, délimité par une coche dont la pointe est placée entre les mots vie et au du troisième vers de notre transcription ; ensuite, il semblerait que le poète a décidé de remplacer volée par passée, le mot étant écrit sous le précédent, toujours délimité par la même coche ; toutefois, l’auteur n’a pas barré la totalité du mot volée, dont il s’est contenté de supprimer le “e” final au moyen de plusieurs traits de biais parallèles, l’accordant ainsi au substantif temps du premier vers ; en outre il a souligné le mot volé, comme pour le séparer du mot passée, donnant ainsi à ces deux vers la forme que nous reproduisons ici 3. dans le manuscrit, le mot travail est, comme souvent, abrégé en W éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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