Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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las du monde, son suicide1 dans lequel je me débats comme2 tant d’autres
nota bene 1. ce tercet est écrit à l’encre noire au verso d’une feuille au format A5, découpée dans une page de brouillon au format A4 ; le recto imprimé de la feuille de brouillon originelle était une épreuve d’un texte d’un numéro de la revue bimestrielle Migrations Société daté mai-août 2004 ; nous pouvons donc raisonnablement penser que le terminus post quem de l'écriture de ce tercet est au moins fin juillet 2004 ; par ailleurs, la lecture du premier vers est difficile : le premier mot pourrait être aussi lu hélas, ce tas, voire état ; le deuxième pourrait être lu de ou des ; le troisième pourrait être lu merde ; le quatrième pourrait être lu sans, ses, voire bon ou encore bien ; enfin le cinquième pourrait être lu brimade ou brimades ou encore autre chose que nous n’avons pas su percevoir ; quoi qu’il en soit, dans un premier mouvement, comme premier vers, le poète avait écrit un seul mot, qui semble être le dernier de l’actuel premier vers ; avant ou après avoir écrit le premier vers dans sa forme “définitive”, il a barré ce mot de plusieurs traits horizontaux 2. dans le manuscrit, comme est, comme souvent, abrégé en un “c” surmonté d’un accent circonflexe éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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