Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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l’exercice de l’état (du pouvoir)1 et le silence de l’inconnu victime de l’injustice du père2 qui s’y3 serre4 pour ne pas sentir l’incompréhension trop conscient du risque du mépris trop conscient5 du mensonge et de la violence des hommes
nota bene 1. ce poème est écrit à l’encre noire dans la moitié supérieure de la quatre-vingt-septième page écrite d’un livre de notes offert au poète lors du 27e Salon du livre de Paris, en mars 2007 (le pays à l’honneur était l’Inde), au format 13,5 cm x 19,6 cm, relié en « toile Monceau Cachemire sur GTI », contenant 200 pages non lignées (dont six pages de garde et de crédits, deux au début et quatre à la fin), soit 100 feuilles, de couleur blanche, au format 12,7 cm x 18,7 cm, mais dont les deux premières feuilles ont été arrachées probablement avant de servir ; ce livre de notes contient un grand nombre de poèmes, des réflexions diverses, des aide-mémoire, des notes personnelles, des notes prises à partir de lectures, le tout écrit entre la fin de 2010 et probablement la fin d’octobre 2014, la presque totalité des textes étant datés ; le dernier texte daté, qui figure dans la cent-quatre-vingt-sixième page écrite du livre, est précédé de la mention le 20/10/2014 ; le poème que nous transcrivons ici est précédé de la date 7 / 12 / 2011 ; il est fort probable que ce poème a été écrit à la suite de la lecture de l’article La crise de reproduction du monde ouvrier de Martin Thibault, paru dans le n° 138, novembre-décembre 2011, de la revue Migrations Société, et d’une conversation que nous avons eue avec son auteur le 2 décembre chez un ami commun 2. dans le manuscrit, ce vers, qui a sans doute été ajouté dans un deuxième temps, est écrit dans l’interligne entre le précédent et le suivant 3. dans le manuscrit, ce y est entouré et relié par une ligne courbe aux mots le silence figurant dans le deuxième vers, également entourés, pour bien indiquer que, malgré l’ajout du vers précédent (cf. la note 2 ci-avant), y se réfère à silence 4. dans le manuscrit, serre est écrit par-dessus un autre mot qui pourrait être terre ; mais il n’est pas totalement exclu que le d’abord le poète ait écrit serre et ensuite terre par-dessus 5. dans le manuscrit, dans ce vers, les mots trop conscient ne sont pas écrits mais sont indiqués par des guillemets anglais placés sous chacun des deux mêmes mots figurant dans le vers précédent éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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