Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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le soleil couchant embrase1 célère2 le feuillage de sa flemme3
décliné4 à l’horizon bâillant de sommeil un endormissement crépusculaire ensommeillé
nota bene 1. ce poème est écrit (orientation paysage) au crayon noir sur la partie inférieure d’un bout de papier aux dimensions 10 cm x 14,7 cm environ, dont le bord supérieur est irrégulier, provenant d’une feuille au format A4 qui contenait un courrier associatif accompagnant un reçu fiscal de don ; la date de ce courrier, 20 mars 2017, figure sur ce bout de papier, ce qui indique le terminus post quem de l’écriture du poème, dont la thématique pourrait être liée à l’un de nos séjours à Dún Laoghaire (Irlande) en juin 2017, dans le Cantal en juillet-août 2017, en Italie (Rome, Florence, Venise) en janvier 2018, à Amblainville et Méru-sur-Oise (Oise) ou à Ydes et Saignes (Cantal) en avril 2018 ou encore au Portugal (région de Lisbonne) en mais 2018, à chacune de ses occasions les paysages vus depuis les fenêtres de nos logements ayant pu inspirer le poète ; par ailleurs, il convient de noter que les trois premiers vers du poème sont écrits tout en bas du morceau de papier, en dessous d’un dessin représentant une sorte de balance à un seul plateau entourée de traits courbes irréguliers à gauche, à droite et en bas, alors qu’au-dessus de cette balance stylisée des lignes droites forment des carrés et des rectangles irréguliers ; au centre d’un de ces carrés, plus ou moins central, il y a une lettre “P” réécrite par-dessus, à l’identique, à l’encre noire ; les cinq autres vers sont écrits de biais, en montant, à partir de l’angle inférieur droit du morceau de papier sur des lignes qui dessinent comme une feuille stylisée enfin, notons que la forme verbale embrase a été réécrite par-dessus, à l’identique 2. célère est une lecture en partie conjecturale 3. on pourrait également lire flamme, mais la première voyelle ressemble plutôt à l’une des formes du “e” qu’à l’une de celles du ”a” du poète ; le jeu de mots oxymorique célère / flemme tant au niveau du sens que de celui du registre de la langue ne serait pas surprenant chez le poète 4. on pourrait éventuellement lire décloué, voire déclaré éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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