Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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les hommes1 pensent2 atteindre le statut d’immortel par la puissance qu’il se donne3 sur la vie d’autres hommes
nota bene 1. ce poème est écrit au feutre fin bleu sur les deux premiers tiers du recto d’une feuille au format 4,3 cm x 15,7 cm, soit issue d’un petit bloc-notes, soit résultant d’un massicotage ; le verso de la feuille est vierge ; aucun indice direct ne permet de déterminer la date de l’écriture de ce texte ; néanmoins, nous savons que l’embryon du poème numéroté 74 dans la section Les autres poèmes d’Éric Meyleuc de Poésie pour tous figure sur deux rectos et un début de verso de deux feuilles identiques à celle qui a servi à l'écriture du poème transcrit ici ; ce poème numéroté 74 est daté par l’auteur du 12 octobre 2018 ; par ailleurs, il fait sans doute référence à un hêtre isolé que nous avons croisé lors de l’une de nos randonnées du côté d’Ercé dans les Pyrénées ariégeoises en août 2008 et au sujet duquel nous-même avons également écrit un poème que l’on peut lire ici ou ici ; nous pouvons donc raisonnablement situer l’écriture de ce poème entre août 2008 (probable terminus post quem de l’écriture de l’embryon du poème 74 ci-dessus mentionné) et octobre 2008 (daté à laquelle le poète avait considéré que ledit poème avait été écrit) ; notons que, à l’exception des trois premiers vers, tout le poème a été réécrit par-dessus à l’identique ; signalons aussi que l'ensemble du poème est entouré de lignes droites formant un rectangle dont le long côté gauche est bordé à l’extérieur de deux lignes sinueuses entrecroisées, alors que le long côté droit est placé entre deux lignes sinueuses ; les quatre premiers vers sont encadrés par des traits plus ou moins droits, de même que le cinquième vers ; l’avant dernier vers est suivi d’un croissant de lune dont la concavité est tournée vers lui ; le dernier tiers de la page est rempli de lignes courbes qui se croisent ; par ailleurs, il convient d’indiquer que nous avons respecté le découpage des vers tels qu’il est dans le manuscrit, un découpage sans doute dû à l’étroitesse du support d’écriture enfin, notons que, contrairement au dernier vers, où le mot est écrit en toutes lettres, ici hommes est, comme souvent, abrégé en h 2. dans un premier jet, le poète avait écrit pensent ou peut-être pensant, mais il a barré le mot puis l'a réécrit en dessous, ou alors il a écrit pensent au lieu de pensant 3. le singulier ici peut surprendre, mais le vers est clairement écrit ainsi ; dans ce cas il faut comprendre que c’est le statut d’immortel qui se donne une puissance sur la vie d’autres hommes ; autrement, il faudrait envisager un manque d’attention du poète et lire soit qui donne, soit qu’ils se donnent éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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