Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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capital1 au même2 titre comme3 le parfum que en le symbole est capiteux4 capiteux
du capital monte5 à la tête6
certes mais n’inspire pas l’amour capitonné7 publicitaire malgré les artifices de la8 propagande9 publicitaire10
nota bene 1. ce poème est écrit à l’encre noire sur un morceau de papier blanc, découpé de façon irrégulière, d’environ 10,5 cm x 15 cm, dont le verso est vierge ; nous avons essayé de reproduire ici la manière dont les mots sont disposés sur le papier, en indiquant dans les notes les mots barrés et ce qui pourrait correspondre à des solutions de rechange ; manifestement, le poète comptait retravailler cette ébauche de poème, dont rien ne permet d’établir avec certitude la période d’écriture ; toutefois, en haut du morceau de papier, figure l’adresse courriel de quelqu’un dont nous avions fait la connaissance chez un ami au début de 2014 et qui souhaitait recevoir les informations sur nos activités artistiques ; cela donne peut-être le terminus post quem de l’écriture de ce texte 2. dans le manuscrit, comme souvent, le mot même est abrégé en un “m”, surmonté d’un accent circonflexe ; par ailleurs, cette séquence de mots au même / titre / que / le pourrait être une solution de rechange à comme le dans le vers comme le parfum 3. dans le manuscrit, le mot comme est, comme souvent, abrégé en un “c” surmonté d’un trait 4. dans le manuscrit, le mot capiteux est entouré d’un rectangle prolongé, à partir de son angle externe supérieur droit, par une flèche dont la pointe se place entre le mot parfum du vers précédent et le bloc de mots au même / titre / que / le ; notons toutefois que la forme verbale est n’est pas barrée 5. il semblerait que, dans un premier temps, le poète avait écrit porte à la tête, puis qu’il avait barré la forme verbale porte et écrit au-dessus il monte, mais qu’ensuite il avait également barré le pronom il 6. dans le manuscrit, ce vers est suivi de deux vers barrés : même si pas de la même façon encore / rend fou, sans que nous puissions déterminer si le deuxième a été barré après que le premier eût été écrit ou si les deux vers ont été écrits successivement et barrés ensuite en même temps ; notons par ailleurs, que, les deux fois, le mot même était, comme souvent, abrégé en un “m” surmonté d’un accent circonflexe 7. dans le manuscrit, ce mot et le suivant sont écrits de biais en descendant, décalés à gauche comme nous l’indiquons dans la transcription ci-dessus 8. dans le manuscrit, les mots de la sont précédés, sur la même ligne, d’un que, dont ils sont séparés par un espace qui laisse supposer que le poète avait d’abord écrit le pronom relatif mais que, immédiatement, il avait décidé d’écrire de la en oubliant de barrer le que ; par ailleurs, ce vers est suivi d’un autre — la publicité rend fou — qui a été barré, à l’exception de l’article la 9. dans le manuscrit, le mot propagande est écrit de biais en descendant, comme les mots capitonné et publicitaire (cf. la note 7 ci-dessus), parallèlement à eux mais décalé à droite et s’enchaînant avec le mot publicitaire, écrit horizontalement et qui le suit 10. dans le manuscrit, à la suite de ce dernier vers, en dessous du mot publicitaire, il y a un mot barré, difficilement déchiffrable, qui pourrait être vraie, mais qui pourrait aussi être un autre mot, suite du vers barré la publicité rend fou ; le mot publicitaire aurait, dans ce cas, été écrit postérieurement dans l’interligne éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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