Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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je vais encore écrire les mots inutiles de mon désarroi je me tiens la tête entre le majeur et le pouce un trop plein de familles incurables qui ne savent que faire de leurs enfants et de leurs grands parents1 qui se noient dans le conventionnel le consensus le conformisme j’en perds l’essence verbale de la création à tel point tout ça est englué dans un marasme imperméable à l’humus utopiale où l’effraie de sa propre tentation hulule d’étouffement devant le monstre ainsi cillé en narcisse égotique être libre… de ce reflet projeté en mille et une nuits de cauchemars… en mal de pensées |affectueuses et charnelles arrêtez-donc de cafarder de vos mille pattes déformantes la mouche au mille visions paranoïaques libérez Frankenstein de sa torpeur aux alouettes expirez les angoisses et inspirez les désirs
nota benela version ci-dessus est la seule que nous connaissions de ce poème ;elle figure dans un fichier Word portant la date du 11 novembre 20161. nous pensons que grands parents est délibérément écrit sans trait d'union éric meyleuc 3 novembre 2016 inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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