pesantes et
trébuchantes
scellées par l’argent
toutes les chaînes du monde
restent impuissantes à empêcher
la liberté de germer
à l’image du hasard
qui engendra
l’être humain
espèce en
proie
à sa propre liberté
nota bene
la version ci-dessus est le
dernier état du poème que nous connaissons ;
elle figure, à l'identique, dans deux fichiers
Word portant les dates
du 15 décembre 2012 et du 7 septembre 2015 (V3),
il existe cependant deux versions
antérieures
figurant dans des
fichiers Word
du 23 novembre 2012 (V1),
du 26 novembre 2012 (V2),
à la fin de V1 et de V2, figure la
mention temporelle
23 novembre 2012 ;
à la fin des deux
fichiers de V3, cette mention se réduit à novembre 2012 ;
il convient de signaler
que ce texte a fait l'objet d'une carte de vœux
que l'ont peut découvrir
ici : carte de vœux 2012-2013 ;
il s'y agit du texte de
V3, mais avec une disposition graphique adaptée à l'image de la carte :
dans les crédits la date
d'écriture indiquée est celle du 23 novembre 2012
le poème
étant court et les variantes de V1 et V2 par rapport à V3 nombreuses,
portant sur les mots et
le découpage des vers,
nous avons trouvé plus
simple de
reproduire ci-après les deux versions
on constate que la seule
différence entre V1 et V2 figure dans l'avant dernier vers
V1
pesantes et trébuchantes
toutes les chaînes du monde
que scelle l’argent
restent impuissantes
à empêcher
la liberté de germer
à l’image du hasard
d’où surgit l’homme
toujours en proie à sa propre liberté
V2
pesantes et trébuchantes
toutes les chaînes du monde
que scelle l’argent
restent impuissantes
à empêcher
la liberté de germer
à l’image du hasard
qui engendra l’homme
toujours en proie à sa propre liberté
éric meyleuc
novembre 2012
inédit
© ayants-droit d'Éric Meyleuc
