Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 448 poèmes de 176 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
train un pépé avec l’accent1 de Narbonne ah c’est votre sœur votre sœur elle est bien vous tous vous êtes très bien il me touchait l’épaule plein de vie et le contrôleur avec un accent pareil2 lui demande vous êtes d’où.3 de Tarbes Ah ! vous êtes une tête plate avec ses yeux4 comme ça qui ressortaient exorbités
raconter des histoires avec des gestes, des accents d’une5 façon outrée. des histoires du quotidien, de son vécu exercice pour cela6 mémoire
nota bene 1. ce poème est écrit à l’encre bleue dans les deux derniers tiers de la septième page et la presque totalité de la huitième d’un carnet au format 14 cm x 10 cm, contenant 20 pages (10 feuilles) entre deux couvertures vertes, offert à titre publicitaire par le Palais des thés ; nous trouvons dans ce carnet, entièrement rempli, des poèmes qui n’ont pas été ensuite dactylographiés, l’embryon d’un poème dactylographié plus tard (Monstre à deux têtes, numéroté 126 dans la section Les autres poèmes d’Éric Meyleuc de Poésie pour tous), des notes sur des sujets divers (vocabulaire en portugais, politique, questions personnelles), quelques notes sur un week-end que le poète a passé à Lyon et à Villeurbanne (les 11 et 12 avril 2015, pour rendre visite à un couple ami et leur fille), sur nos séjours en Sicile (du 7 au 18 mai 2015, pour des vacances), à Valencia (du 18 au 23 juin 2015, à l’occasion d’une intervention de P. Vianna à l’École d’été du mastère international sur les migrations piloté par l’Universitat de Valencia) et dans le Bergeracois (du 9 au 17 juillet 2015, à l’occasion d’une intervention de P. Vianna aux Reclusiennes à Sainte-Foy-la-Grande) ; les dernières notes de ce carnet portent sur des faits survenus dans le métro et lors d’une visite que nous avons faite au Mur à pêches à Montreuil (le 26 juillet 2015) ; à la septième page, entre le début de ce poème et la fin de celui qui le précède, numéroté 85 dans la présente section de Poésie pour tous, figure la mention le 01/04/2015, sans que nous puissions déterminer avec certitude si elle correspond à la date d’écriture de l’un ou de l’autre de ces deux poèmes ; néanmoins, nous savons qu’entre le 1er et le 10 avril 2015 nous étions à Paris et que si le 10 avril nous avons fait un aller-retour en Haute-Garonne, pour assister aux obsèques d’un ami, nous avons alors pris l'avion ; il est donc probable que le poème ci-dessus, qui évoque des faits survenus dans un train, a été écrit durant le déplacement du poète mentionné ci-dessus, les 11 et 12 avril, une hypothèse renforcée par le fait que ce poème est suivi d’un autre, numéroté 87 dans la présente section de Poésie pour tous, lui-même suivi de notes écrites à l’encre noire concernant ce séjour rhônalpin 2. dans un premier mouvement, le poète avait commencé à écrire il y, des mots qu’il a barrés, sans doute immédiatement 3. dans le manuscrit, il s'agit nettement d'un point, alors que l'on s'attendrait à un point d'interrogation 4. dans un premier mouvement, en début de vers, le poète avait écrit il reg (probablement le début de “il regardait”), ce qu’il a barré, sans doute immédiatement 5. dans un premier temps, le poète avait écrit de, mot qu’il a transformé en d’une, écrit alors de biais en montant vers l’interligne supérieur 6. dans le manuscrit, ce vers est souligné éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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