Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 448 poèmes de 176 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
Il faut que le souffle1 soit soufflé modelé2 par3 la bouche et la langue coffrage qui forme
son4 imprimé au souffle par la bouche et la langue
nota bene 1. ce texte est écrit à l’encre verte dans la marge supérieure et à l’encre noire dans la marge gauche d’un bandeau imprimé (un tiers d’une feuille A4) distribué à l’occasion de la présentation de Si tu veux la paix... souviens-toi de la guerre, montage poétique conçu par Éric Meyleuc, Denise Peyroche et Pedro Vianna pour la XVIIe Journée mondiale de la poésie, organisée le 8 octobre 2005 dans la crypte de l’église de la Mission catholique italienne (Paris VIIIe) par l’association Poesia-2 Ottobre, en partenariat, avec, entre autres, l’association Actes de présence ; la date indiquée est donc le terminus post quem de l’écriture de ce poème ; au verso du bandeau, il y a des notes sur la conjugaison d’un verbe en portugais, lesquelles pourraient dater de la fin de 2006-début de 2007 ou encore de la fin de 2007-début de 2008, mais ce ne sont là que des hypothèses fort hasardeuses 2. modelé est écrit dans l’interligne supérieur, juste au-dessus de soufflé, sans que ce dernier mot soit barré 3. dans un premier mouvement, par était suivi de le dessus, la ligne suivante commençant par de la bouche, mais, probablement tout de suite, le poète a barré les mots dessus à la deuxième ligne et de à la troisième, ayant oublié de barrer le le qui précédait dessus 4. ce vers et les quatre suivants sont écrits de biais, vers la droite en descendant, dans la marge gauche du bandeau ; on pourrait penser que le poète avait oublié d’écrire un article (“le” ou “un”) avant son, mais cela a probablement été intentionnel ,une hypothèse renfoncée par le fait du passage à une autre strophe éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
Retour
en haut de la page
|
|