Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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l’artère de la vie1 baignée par le désir quotidien de la lumière matinale et toute sa (curiosité) vivacité printanière2 pleine de curiosités bourgeonnantes
nota bene 1. ce poème est écrit à l’encre bleue dans le dernier cinquième de la centième page écrite et la première ligne de la cent-et-unième d’un livre de notes offert au poète lors du 27e Salon du livre de Paris, en mars 2007 (le pays à l’honneur était l’Inde), au format 13,5 cm x 19,6 cm, relié en « toile Monceau Cachemire sur GTI », contenant 200 pages non lignées (dont six pages de garde et de crédits, deux au début et quatre à la fin), soit 100 feuilles, de couleur blanche, au format 12,7 cm x 18,7 cm, mais dont les deux premières feuilles ont été arrachées probablement avant de servir ; ce livre de notes contient un grand nombre de poèmes, des réflexions diverses, des aide-mémoire, des notes personnelles, des notes prises à partir de lectures, le tout écrit entre la fin de 2010 et probablement la fin d’octobre 2014, la presque totalité des textes étant datés ; le dernier texte daté, qui figure dans la cent-quatre-vingt-sixième page écrite du livre, est précédé de la mention le 20/10/2014 ; le poème que nous transcrivons ici est précédé de la date 16/05/2012, suivie de la mention Portugal, Lisboa, Albarraque ; en effet, nous étions arrivés à Lisbonne le 3 mai, passé la journée et la nuit à Albarraque, puis nous étions partis à Pedras del Rei (Tavira, Algarve), où nous avons séjourné du 4 au 15 mai, jour où nous sommes revenus à Albarraque pour y rester jusqu’à notre retour à Paris le 20 mai 2. dans le manuscrit, les mots vivacité printanière sont écrits juste en dessous du mot curiosités, mis entre parenthèses mais non barré ; peut-être le poète avait-il l’intention de remplacer ce dernier par les deux premiers, après l’avoir employé, au pluriel, dans le dernier vers éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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