Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 448 poèmes de 176 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
il faut que les humains cessent1 de travailler2 pour gagner leur vie
gagner sa vie pour pouvoir travailler librement suivre son imaginaire2
la vie doit être gratuite alors on travaillera sans relâche à ses aspirations
nota bene1. ce poème est écrit au crayon noir sur une moitié d’un morceau de papier blanc correspondant à un tiers d’une feuille au format A4 dans le sens de la hauteur ; le verso de ce morceau de papier est resté vierge ; sur l’autre moitié de ce même morceau de papier, mais écrit dans le sens opposé (manifestement le morceau de papier avait été plié en deux), se trouve le poème numéroté 23 dans cette section de Poésie pour tous ; aucun indice ne permet de déterminer une période pour l’écriture de ce texte ; par ailleurs, notons que le mot humains est abrégé en un simple h ; bien entendu, nous aurions pu écrire “hommes”, mais compte tenu des autres poèmes de l’auteur, il est patent qu’il préférait employer “humain” plutôt que “homme” pour désigner les êtres humains en général 2. le verbe travailler est précédé d’un mot qui semble barré et qui pourrait être soit gagner, soit payer ; s’il s’agit effectivement d’un mot barré, il l’aurait été juste après avoir été écrit pour être tout de suite remplacé par travailler ; une autre possibilité serait que le mot n’ait pas été barré et qu’il s’agisse peut-être de toujours, une lecture fort conjecturale 3. imaginaire est une lecture en partie conjecturale éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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