Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 448 poèmes de 176 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
Arrêtons de nous1 soucier du temps qui passe vivons vraiment en êtres humains dignes2 du sens poétique que nous a donné la nature3 signifié et signifiant enfin unifiés4
Bonne continuation
nota bene1. ce poème est écrit à l’encre noire sur le recto d’une bande de papier vert au format 21 cm x 6,7 cm ; au-dessus du texte, figure la date sous la forme 15/12/2011 et à gauche, écrit de biais, le mot poétique barré par trois traits horizontaux ; après le poème, il y a comme une signature Éric, avec un trait en dessous ; au verso de cette bande de papier, il est écrit au feutre noir Éric Meyleuc et en dessous du nom du poète il y a quelques traits irréguliers ainsi qu'une forme triangulaire aussi irrégulière ; notons, à titre indicatif, que dans l’après-midi du 15 décembre 2011 étaient arrivées à Paris Gisela Vianna de Araújo, nièce de Pedro Vianna, avec ses deux filles Luíza et Julia ; le soir de ce même jour a eu lieu une assemblé générale de l’Association Actes de présence ; soulignons enfin que ce poème peut être rapproché du poème numéroté 168 dans la section Les autres poèmes d’Éric Meyleuc, écrit le 30 juin 2011, où apparaît également l’idée de potentiel poétique que nous a donné la nature 2. notons que les “s” à la fin des mots êtres et dignes ne sont pas explicites, alors que la marque du pluriel semble figurer à la fin du mot humains ; de même le “s” à la fin du mot unifiés, à la fin du dernier vers, n’est pas écrit, alors qu’il est indispensable ; comme souvent le poète omet le “s” à la fin de mots, nous les avons rétablis ici 3. dans un premiers temps, le poète avait écrit en êtres humains dignes de ce nom, puis il a barré de ce nom et écrit dans l’interligne supérieur, à l’intérieur d’une accolade horizontale, du sens poétique que nous a donné la nature ; notons que, sans doute par distraction, la pointe de l’accolade se trouve entre les mots humains et dignes au lieu de se trouver après dignes et avant les mots (barrés) de ce nom, comme semble demander le sens 4. dans un premier temps, le poète avait écrit en liant signifié et signifiant puis il a barré en liant et a ajouté à la fin du vers enfin unifiés éric meyleuc 15 décembre 2011 inédit puis in Rose des temps n° 41 septembre-décembre 2021 © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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