1. ce poème est écrit à l’encre noire dans les quatre
premiers cinquièmes de la trente-troisième page écrite d’un livre de notes
offert au poète
lors du 27e Salon du livre de Paris, en
mars 2007 (le pays à l’honneur était l’Inde), au format 13,5 cm x 19,6 cm,
relié en « toile Monceau Cachemire sur GTI »,
contenant 200 pages non lignées
dont six pages de garde et de crédits, deux au début et
quatre à la fin), soit 100 feuilles, de couleur blanche,
au format 12,7 cm x 18,7 cm, mais dont les deux premières
feuilles ont été arrachées probablement avant de servir ;
ce livre de notes contient un grand nombre de poèmes, des
réflexions diverses, des aide-mémoire, des notes personnelles,
des notes prises à partir de lectures, le tout écrit entre
la fin de 2010 et probablement la fin d’octobre 2014,
la presque totalité des textes étant datés ; le dernier
texte daté, qui figure dans la cent-quatre-vingt-sixième page écrite du livre,
est précédé de la mention le 20/10/2014 ;
le poème que nous transcrivons ici est précédé de la date
13 Février [2011] ;
notons enfin que, compte tenu de certains mots qui
figurent dans le poème, notamment évasion et dédale,
nous pourrions rapprocher ce texte de celui du poème écrit
la veille à Venise
et numéroté
182 dans la présente section de Poésie pour tous ;
2. dans un premier temps, le poète avait écrit est,
puis, sans doute immédiatement,
il a barré ce mot pour continuer comme l’indique notre
transcription
3. dans le manuscrit, lorsque est écrit dans
l’interligne supérieur, légèrement décalé à gauche,
le mot étant délimité par une coche dont la pointe se
place au début du vers
4. dans le manuscrit, il semblerait que, dans un premier
temps, le poète avait écrit
d’où l’on peut s’évader / physiquement / de
quelque part,
mais ensuite il barré le vers de quelque part, a
écrit dans la marge de droite les trois vers qui suivent dans notre
transcription (cf. la note 6 ci-dessous) et a écrit
au-dessus, dans l’interligne, lorsque l’envie de pisser vous prend
5. dans le manuscrit, mais est, comme souvent,
abrégé en ms
6. dans le manuscrit, ce vers et les deux suivants sont
écrits dans la marge de droite, sur cinq lignes,
dont la première se situe à la hauteur de l’interligne qui
précède le vers physiquement ;
nous avons donc considéré qu’il fallait les insérer à cet
endroit, mais nous aurions
également pu les insérer après ce vers, sans que le sens
global en fût modifié ;
par ailleurs, compte tenu du peu de place
disponible dans la marge du manuscrit,
il nous a semblé possible de transcrire les cinq lignes
concernées en trois vers
7. dans le manuscrit, comme est, comme souvent,
abrégé en un “c” surmonté d’un accent circonflexe
8. dans un premier temps, le poète avait écrit ou que
le flot, puis il a barré ce dernier mot et a écrit juste au-dessus rêve
9. dans le manuscrit, ce vers est écrit à la toute fin du
poème, précédé d’un astérisque,
un autre astérisque placé dans l’interligne inférieur à la
fin du vers précédent
indiquant qu’il doit être inséré là où nous le
transcrivons
