Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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Après une dernière1 évasion lacustre2 en terre de fantasques dédales est3 arrivé le moment de s’envoler vers l’inconnu connu4 appelé communément quotidien
nota bene 1. ce poème est écrit à l’encre noire dans la presque totalité de la moitié inférieure de la trente-deuxième page écrite d’un livre de notes offert au poète lors du 27e Salon du livre de Paris, en mars 2007 (le pays à l’honneur était l’Inde), au format 13,5 cm x 19,6 cm, relié en « toile Monceau Cachemire sur GTI », contenant 200 pages non lignées (dont six pages de garde et de crédits, deux au début et quatre à la fin), soit 100 feuilles, de couleur blanche, au format 12,7 cm x 18,7 cm, mais dont les deux premières feuilles ont été arrachées probablement avant de servir ; ce livre de notes contient un grand nombre de poèmes, des réflexions diverses, des aide-mémoire, des notes personnelles, des notes prises à partir de lectures, le tout écrit entre la fin de 2010 et probablement la fin d’octobre 2014, la presque totalité des textes étant datés ; le dernier texte daté, qui figure dans la cent-quatre-vingt-sixième page écrite du livre, est précédé de la mention le 20/10/2014 ; le poème que nous transcrivons ici est précédé de la date 12 Février [2011] ; il convient de préciser que ce jour-là nous quittions Venise, où nous étions arrivés le 5 février, pour rentrer à Paris ; la toute fin de la page est occupée par les deux derniers vers du poème écrit le 11 février dans la moitié supérieure de cette même page et numéroté 181 dans la présente section de Poésie pour tous ; par ailleurs, compte tenu de la manière dont ce vers et les trois suivants sont placés dans le manuscrit, décalés à droite et commençant à mi-hauteur de la ligne où se trouve la date, il est fort probable que le poète les a ajoutés dans un deuxième temps, après avoir commencé le poème par ce qui est le quatrième vers de notre transcription 2. dans le manuscrit, ce vers et les deux suivants, sont réécrits par-dessus à l’identique, toujours au stylo noir 3. dans un premier temps, le poète avait écrit c’est le moment, puis il a mis c’est entre parenthèses et a écrit les mots est arrivé à droite du vers suivant, mais les a séparés de ce dernier par une sorte de “L” d’où part un trait indiquant que ces mots devaient être mis à la place de (c’est) même si ces derniers mots et les parenthèses n’ont pas été expressément barrés… 4. dans un premier temps, le poète avait écrit vers le connu inconnu / que communément est appelé / quotidien, puis dans le premier de ces trois vers il a barré le mot inconnu et a transformé le en l’ et, dans le deuxième, il a barré le que initial et a souligné communément d’un trait qui se prolonge d’une flèche indiquant que ce mot devait être placé à la fin du vers ; enfin, après le dernier de ces trois vers, il a écrit de nouveau inconnu, qu’il a encadré d’un rectangle d’où part une flèche brisée en plusieurs segments et dont la pointe se place entre les mots l' et connu du premier de ces trois vers éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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