Qu’en sais-je
nota bene
1. ce poème est écrit à l’encre noire au verso
d’un bout de papier au format A6, issu d’une feuille de brouillon,
qui avait servi à noter des adresses probablement
liées aux activités théâtrales du poète antérieures à 2001 ;
l’écriture est en orientation paysage ; au-dessus
du poème, au crayon noir, on trouve une note sur un prix de vente encore en
francs,
probablement donc en 2001, mais qui pourrait
aussi dater de 2002, car peu après l’introduction de l’euro, il était courant de
parler encore en francs ;
par ailleurs d’autres notes, également au crayon
noir, portant sur l’agencement d’une scène pourraient se référer
soit à
Le journal d’un fou (Paris, janvier 2002), soit à
L’art d’être Victor Hugo (Bessèges, août 2002 ; Paris, septembre 2020),
deux pièces dans lesquelles nous étions
impliqués ; ces notes ne peuvent en aucun cas se référer au récital poétique
Poésie d’ici et d’ailleurs
à la bibliothèque municipale de Bessèges (août
2001), auquel nous avons également participé, compte tenu de l’absence de scène
et de décor ;
compte tenu de tout cela, on peut supposer que
poème a été écrit soit en août 2001, soit en août 2002,
lors de l’un de nos séjours à Bessèges pour y
jouer, mais ce ne sont là que des suppositions
2. selecte vie est
une lecture conjecturale, les mots se chevauchant
3. le début du mot est
indiscutablement écrit de la sorte ; soit c’est un jeu de mots volontaire, soit
une faute d’orthographe pour “Bességeoise”
4. dans un premier
mouvement, le poète semble avoir écrit simplement des maux, mais, en
apparence immédiatement,
le “x” a été recouvert par
un “d” suivi de “its” et de mots
