Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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Que t’arrive-t-il mon grand1 aurais-tu peur de tes aspirations de te faire happer pas elles être aspiré par la vie qu’elles portent en elles Celle qui t’inspire te donne de la de la respiration, du souffle pour avancer le souffle de ta vie ————————— < pourquoi cette retenue ne pas aller vers ce qui donne le souffle de ta vie —> préoccupé terrorisé2
nota bene 1. ce poème est écrit à l’encre bleue dans les quatre premiers cinquièmes du recto d’une feuille au format A5, probablement issue d’un bloc-notes ; à gauche du texte, à partir du huitième vers, il y a une série de traits verticaux parallèles délimités en haut et en bas par des lignes courbes parallèles, mais sept de ces traits sont cependant prolongés vers le bas par des traits irréguliers limités en bas par un trait droit ; à gauche de ces traits, à la hauteur de l’interligne entre le septième et le huitième vers, nous lisons le mot papiers et, en dessous, à la hauteur du huitième vers, figurent deux mots dont le premier est pas, le deuxième pouvant être perd, ceux qui pourrait correspondre à une note signifiant papiers / pas perdus, ce qui ne semble pas avoir de lien avec le poème ; le dernier cinquième de la page contient deux références de livres, l’une écrite à l’encre bleue, mais d’un bleu plus clair que celui du stylo qui a servi à écrire le poème, la deuxième au crayon noir ; cette dernière porte sur un livre paru en août 2013, ce qui pourrait situer la période du terminus post quem de l’écriture du poème ; quelques traits ondulés irréguliers séparent le poème des notes sur les livres, et une flèche à l’encre noire pointe vers le bord droit de la page ; la partie supérieure du verso de la feuille contient six lignes écrites au feutre fin bleu, qui semblent être des notes à propos d’un rêve (ou d’une partie d’un rêve) fait par le poète, lesquelles, du moins en apparence, n’ont pas de lien avec le poème 2. après le mot terrorisé, on pourrait lire exténué écrit de façon presque illisible et un peu discontinue, mais on pourrait également lire etc. suivi de traits sans signification, ou encore et suivi d’un mot écrit de façon discontinue et illisible éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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