pour Louis
crépitement des feuilles sous le feu des pas en
automne
qui me berce de sa chaleur enveloppante
douce réminiscence d’une tendre caresse
et je souris à l’idée
de tous ces heureux
qui auront le bonheur
de ressentir la jouvence
de tes mains apaisantes
sur leur corps mutilé par tant de désirs venus
se briser sur la platitude du conformisme
* * *
pour Louis
crépitement des feuilles sous le feu des pas en
automne
qui me berce de sa chaleur enveloppante
douce réminiscence d’une tendre caresse
et je me réjouis
en pensant à tous ces heureux
qui connaîtront le bonheur de nager dans la
jouvence de tes mains apaisantes
baume sur leur corps mutilé par tant de désirs
venus
se briser sur la platitude du conformisme
nota bene
les deux versions ci-dessus
sont les seuls états du poème que nous connaissons ;
elles figurent dans deux fichiers Word du
10 juillet 2014 et du 12 juillet 2014,
respectivement ;
en ce qui concerne l'indication de la date d'écriture,
la première version porte à la fin 5 juillet 2014 et la
deuxième 10 juillet 2014
éric meyleuc
5 juillet 2014 / 10 juillet 2014
inédit
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