Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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Il me dit oh le lézard et moi je comprends lézarde il y a comme un lézard dans la lézarde non l’origine de la lézarde contrairement à la poularde viendrait forcément du lézard puissante bête de suggestion qui assujettit même le soleil en effet... obscur cet astre saoul de lumière lézarde tout à tour de four sur son giron diurne et là à ce point du jour écaille un cerneau de tête (en) éclats de rêve nocturne qui se lune1 d’un sourire rayonnant de gerçures pfff pfff pfff heurghh sortie de léthargie un gros lézard vient se hasarder au jeu de mots fleurter avec les arts de la langue2qui se fend d’une lézarde étymologique fleurée d’azahar eh oui le lézard aurait pour origine la lézarde oui le lézard était une lézarde l’animal reptilien décliné au féminin et non pas le déclin des mâles érectiles en mal pensants et le lézard femelle de la lézarde dans tout ça haaaaarrrgh le lézard semble apprécier s’engorger dans les profondeurs du genre du genre casse-tête du rabat-joie plein de lézards cachés dans l’obscurité de la lézarde identitaire identité que l’on voudrait sans l’ombre d’une tare à cacher d’une normalité ordinaire à toute épreuve et bien ficelée à l’intérêt général du tous pour un
nota benela version ci-dessus est le dernier état du poème que nous connaissons ;elle figure dans un fichier Word du 20 septembre 2016 (V2) celle parue dans Poésie pour tous, est conservée dans un fichier Word du 28 juin 2015 (V1) en bas des deux versions figure date d'écriture : 31 mai 2015 ci-après, nous indiquons les deux variantes de V11. dans V1, ce vers était (en) éclats de rêve nocturne qui se lunent 2. dans V1, ce vers et le précédent n'en faisaient qu'un sous la forme un gros lézard vient se hasarder au jeu de mots de la langue éric meyleuc 29 mai 2015 paru dans Poésie pour tous du 15 juillet au 14 août 2015 © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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