Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 547 poèmes de 177 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
un souvenir de ouate rose vision béate d’un recyclage onirique hallucinant deux puissantes cheminées d’où s’échappe panache démesuré cette voûte refluorosée froidement poussée par le soleil levant de l’hiver à se déverser au-dessus des eaux vert-d’égoût le long de leur cours urbain où se mire la lumière matinale unichromerosée de ce tunnel ainsi molletonné sous le regard bluffé du pont qui le traverse
regret de n’avoir que l’image rendue à l’impression face à la puissance de l’instant vécu
nota benela version ci-dessus est le dernier état du poème que nous connaissons ;elle figure dans un fichier Word du 23 mai 2011 portant la mention ouate rose2010 dans lequel cependant la date d'écriture de novembre 2004 a été conservée cette version est celle qui a été intégrée à la pièce Conversations en poésie. En jeu : la liberté de Éric Meyleuc et Pedro Viannajouée à Paris (Espace Quartier latin), en novembre 2011, puis au Théâtre de l'Île Saint-Louis, en mai 2015, et qui a fait l'objet d'une lecture théâtralisée en hommage à Éric Meyleuc par Serge Carbonnel et Pedro Vianna au Bab-Ilo en octobre 2018 pour La Ruche des Arts ci-après, nous donnons la première version du poème, dont le fichier Word conservé porte la date du 27 avril 2009 un souvenir de ouate rose rêve recyclé par deux puissantes cheminées d’où s’échappe hallucinant cette voûte refluorosée poussée froidement par le soleil levant de l’hiver à se déverser démesurément au-dessus des eaux vert-d’égoût le long de leur cours urbain où se mire la lumière matinale unichromerosée par ce tunnel molletonné sous le regard bluffé du pont qui le traverse
regret de n’avoir que l’image rendue à l’impression face à la puissance de l’instant vécu éric meyleuc novembre 2004 paru dans Poésie pour tous du 15 juin au 14 juillet 2009 inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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