Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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que l’homme enfin l’animal qui se nomme l’humain disparaisse de l’univers qu’on n’en parle plus1 qui en parle d’ailleurs cette chiure orgueilleuse et prétentieuse qui revendique l’immortalité2 mais qui n’est pas capable de se survivre à elle-même toujours pareille à elle-même qu’elle hait3 qu’elle disparaisse plus vite qu’elle est venue et qu’il n’en soit plus question qu’elle arrête de démanger la tranquillité de l’univers oui c’est ça tout juste une démangeaison anodine qu’elle aura été et encore ce serait lui donner trop d’importance en vérité nota benela version ci-dessus est le dernier état du poème que nous connaissons ;elle figure dans un fichier Word portant la date du 17 décembre 2014 (V2),il existe cependant une version antérieure figurant dans un fichier Word du 4 novembre 2014 (V1), à la fin des deux versions, figure la mention temporelle 22 mai 2014 dans les notes ci-après, nous indiquons les variantes de la version précédente 1. dans V1, ce vers et le suivant ne figurent pas 2. dans V1, ce vers se lit : aux prétentions d'immortalité 3. dans V1, ce vers ne figure pas éric meyleuc 22 mai 2014 inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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