Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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inspiration tirée d'un vers de Hugo Oui j’irai !/Tu n’auras qu’à soulever le pêne./ J’aime !/Enfin ! c’est heureux ! Nous eûmes de la peine ! in La forêt mouillée, vers 366-367 suivi d’une réflexion politique1 avec peine j’engage mon pêne dans la gâche pourquoi gâcher ainsi sa peine à tout verrouiller de cette réflexion j’en reste tout penaud comme quoi nous ne sommes jamais aussi libres que nous voudrions l’affirmer surtout lorsque nous sommes esclaves de notre nature soi-disant hermétique à tout changement nous oublions trop souvent le conditionnement flatteur ou destructeur dans lequel nous évoluons et les amis et valeurs que nous servons
nota bene1. le lecteur aura compris qu'il s'agit en réalité de deux alexandrins tirés de la pièce citée, intégrée à Théâtre en liberté. naturellement c'est “ce vers” qui est suivi d'un réflexion politique de l'auteur du poème ici publié éric meyleuc 6 mai 2017 inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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