Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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le culte de la réussite matérielle1 la fierté hiérarchie sociale économique qui2 glorifie l’argent et3 nie l’être humain faux4 semblant qui dénie le droit à l’existence de tous5 ——————————————— qui apprend à s’aimer sans fausse fierté
nota bene 1. ce poème est écrit en partie à l’encre bleue, en partie à l’encre rouge, au verso d’une fiche au format A5, de couleur fuchsia, dont le recto, imprimé, contient un grille horaire de présence à l’accueil des membres d’une équipe de la bibliothèque où travaillait le poète ; cependant, aucune date n’y figure et nous ne disposons donc d’aucun élément permettant de déterminer une période pour l’écriture de ce poème ; les deux couleurs d’encre pourraient indiquer que le poème a été écrit en deux étapes, mais il faut noter que le “e” de de et le “l” de la dans le premier vers ont été repassés à l’encre rouge, de même que le “x“ de faux dans l’antépénultième vers, lettre qui, il faut le signaler, était bizarrement écrite (cf. la note 4 ci-dessous) ; pour des raisons de lisibilité, vu le fond noir des pages du site, nous avons remplacé ici les couleurs du manuscrit 2. ce qui a été ajouté de biais, à l’encre rouge, légèrement au-dessus de glorifie 3. dans un premier temps, le poète avait écrit et qui nie ; ensuite il barré qui, probablement en même temps qu’il a ajouté le relatif dans le vers précédent (cf. la note 2 ci-avant) 4. comme nous l’avons signalé dans la note 1 ci-dessus, dans le manuscrit, le “x” de faux semblait bizarrement écrit ; il est donc probable que le poète ait éprouvé le besoin de le réécrire à l’encre rouge, pour éviter tout ambiguïté, son écriture permettant de lire faire au lieu de faux ; toutefois, nous ne pouvons pas totalement écarter l’hypothèse que, dans un premier temps, le poète ait écrit faire et que, ensuite, il y ait préféré faux, transformant alors clairement, à l'encre rouge, la fin de l’infinitif verbal en un “x”, son écriture permettant, comme nous venons de le signaler, de lire faux 5. dans un premier temps, le poète avait écrit chacun, qu’il a barré pour écrire juste en dessous tous ; par ailleurs, notons que le trait que nous avons reproduit à la suite de ce vers figure dans le manuscrit et nous semble destiné à marquer la rupture provoqué par le dernier vers, qui s’oppose à ce que dénonce le reste du poème et qui peut aussi être lu comme une interrogation éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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