Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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Pourquoi ce besoin1 cette manie de tomber si facilement amoureux Est-ce par manque d’amour pour soi1 un besoin de reconnaissance besoin de se sentir vivre s’enivrer rencontrer cet1 amour idéal éternel que l’on prolonge dans tout être rencontré1 que l’on voudrait aimer qui nous apporte la fraîcheur1 de sa nouveauté et de ses promesses de bien-être2 ego surdéveloppé ou3 à vif qui ne s’assume pas ou n’assume pas son besoin absolu que l’on s’intéresse à lui
nota bene 1. ce poème est écrit au feutre fin bleu dans le dernier quart de la sixième page écrite et le premier tiers de la septième d’un livre de notes offert au poète lors du 27e Salon du livre de Paris, en mars 2007 (le pays à l’honneur était l’Inde), au format 13,5 cm x 19,6 cm, relié en « toile Monceau Cachemire sur GTI », contenant 200 pages non lignées (dont six pages de garde et de crédits, deux au début et quatre à la fin), soit 100 feuilles, de couleur blanche, au format 12,7 cm x 18,7 cm, mais dont les deux premières feuilles ont été arrachées probablement avant de servir ; ce livre de notes contient un grand nombre de poèmes, des réflexions diverses, des aide-mémoire, des notes personnelles, des notes prises à partir de lectures, le tout écrit entre la fin de 2010 et probablement la fin d’octobre 2014, la presque totalité des textes étant datés ; le dernier texte daté, qui figure dans la cent-quatre-vingt-sixième page écrite du livre, est précédé de la mention le 20/10/2014 ; le poème que nous transcrivons ici est précédé de la date 6 janvier [2011] ; par ailleurs, dans le manuscrit, ce premier vers, les quatre derniers mots du troisième vers, le mot cet dans le septième vers, tout le neuvième vers et les mots apporte sa fraîcheur dans le onzième vers, suivis dans notre transcription de l'appel de note numéroté 1, ont été réécrits par-dessus à l’identique avec le même feutre fin bleu 2. dans le manuscrit, avant le début du vers, un mot, ou le début d’un mot est barré de plusieurs traits dans tous les sens, ce qui le rend illisible 3. dans le manuscrit, la conjonction ou est écrite par-dessus un autre mot, assez court, qu’il est impossible de lire, mais qui ne peut pas être “et”, vu l’absence de trace d’un “t” éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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