Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 448 poèmes de 176 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
un grand silence se fit les chiens avaient déserté les rues le vol des vautours s'était arrêté la lumière ne vibrait plus l'air était immobile le temps semblait suspendu le temps semblait s'épuiser dans le présent se coaguler dans son instant final mort abstraction devenue concrète palpable dans son immobilité perceptible dans l'absolu de son néant sensible dans l'omniprésence de l'absence mort face-à-face avec le vide absolu sifflement absent d'une balle non tirée qui se fait entendre l'air se remit à frémir le temps me reprit dans ses rets
pedro vianna Paris, 13.IV.1996 Pour réécouter le poème, retournez en haut de la pageRetour en haut
de la page
|
|