Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
La rubrique Poèmes du mois de ce site créé le 14 avril 2001 a déjà publié 2 529 poèmes de 177 poètes de 31 origines nationales, sans compter ceux de P. Vianna Et la fête continue ! Bonne navigation ! pour accéder directement à l'ensemble des recueils de P. Vianna (texte intégral au format ".pdf") cliquez sur RECUEILS (PDF) ET RÉFÉRENCES DE PUBLICATIONS DE P. VIANNA ET DE É. MEYLEUC et pour connaître ses prochaines activités artistiques cliquez sur |
Nuits blanches sur pages blanches griffonnées de noir faute de sang pour se substanter opacité glauque d’un clair-obscur1 se renvoyant nez à nez la paternité du néant éclaircissement contre aveuglement la lumière aveuglante de la clarté du jour qui renvoie son ombre brûlée par le feu du soleil jaillissant des profondeurs de la terre en une explosion de cendre noire venant se coller sous l’action du tonnerre à la terre vierge toute de blanc maculée par ma souillure stérile assoiffée de victimes où se poser2 pour apaiser ces frustrations venues d’une ombre3 projetée par quoi par qui
nota benela version ci-dessus est le dernier état du poème que nous connaissons ;elle figure dans un fichier Word du 8 février 2018 (V4) dans lequel la mention avril 2003 est maintenue, comme dans toutes les version précédentes, mais suivie des mots revu en 2018 ; il existe cependant trois versions précédentes : la première se trouve dans un fichier Word du 27 décembre 2003 (V1) ; la deuxième, celle parue dans Poésie pour tous et qui figure dans le recueil Mots-Miroirs, se trouve dans un fichier Word du 17 septembre 2004 (V2), lequel porte dans son nom la mention première version, sans doute ajoutée ultérieurement pour la distinguer des versions suivantes ; la troisième version figure dans un fichier Word du 1er janvier 2018 (V3), dans laquelle la mentions avril 2003 est curieusement précédée de (inédit) quant au texte, il est identique à celui de V4 ci-après, nous indiquons les variantes de ces trois versions antérieures1. dans V1 et V2, clair-obscur est écrit sans trait d'union 2. dans V1, le poème s'arrêtait ici 3. dans V2, ce vers, qui finissait le poème, apparaît sous la forme venues de l'ombre et les deux vers suivants (projetées par quoi / par qui) ne figuraient pas éric meyleuc avril 2003, revu en 2018 paru dans Poésie pour tous du 15 août au 14 septembre 2003 in Mots-Miroirs Paris, 2004 © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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