Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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Où est l’essence de la vie, dans la réalité que l’on voudrait inventer ou dans l’autre, hostile, imposée à laquelle on tente d’échapper ou du moins de transformer1. Peuvent-elles jamais se rencontrer pour donner corps à la vie de toutes les aspirations. Comment peuvent-elles cohabiter sans s’anéantir dans un non-sens de souffrance que seule la mort peut arrêter en séparant les deux protagonistes.
nota benela version ci-dessus est le seul état du poème que nous connaissons ;elle figure à l'identique dans trois fichiers Worddu 23 juillet 2007, du 3 janvier 2014 à 1 h 32 du 3 janvier 2014 à 1 h 32 avec le nom du fichier suivi de (2) cela laisse penser que l'auteur avait l'intention de retravailler ce texte c'est pour cela que nous nous permettons la note qui suit 1. il paraîtrait avoir ici un problème de régime verbal, le verbe échapper demandant un complément d'objet indirect et le verbe transformer un complément d'objet direct ; ainsi, la rigueur syntaxique aurait exigé que l'on écrive "ou du moins qu'on tente/essaie de transformer" connaissant bien l'auteur, nous pensons qu'en révisant le texte il y aurait apporté la correction nécessaire éric meyleuc juillet 2007 inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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