Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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nous arrivons au sommet. chacun regarde dans deux directions différentes. deux directions opposées. l’un vers l’aval l’horizon des plaines dégagées l’autre vers l’amont la source des vallées les cirques glaciaires cerclés de leurs crêtes qui se dressent tels des remparts des murailles festonnées qui ferment l’horizon même si l’une de ses murailles plus marquée par le temps laisse entrevoir un couloir de dégagement vers l’horizon de la plaine de l’autre côté regards aux positions et dispositions différentes l’ouverture de la plaine fermeture de la muraille oppressive frontières naturelles par définition faites pour être franchies une nouvelle naissance faîtes à bassins multiples naissance des berceaux verseaux sources de la vie qui alimentent les vallées ces remparts murailles venues des entrailles du tréfonds de la terre ciselées au fil des âges glaciaires minéralisant alluvionnant les plaines les vallées ces phénomènes naturels infranchissables au même titre que les fleuves les mers les océans les forêts opaques toujours l’homme les a franchis la curiosité toujours aiguisée plonger traverser s’immerger découvrir de l’autre côté l’autre versant l’autre matière |l’autre lumière l’autre densité l’autre univers nouveau monde monde vierge ah non désolé ah mince pas le choix ça pousse derrière oui face à la peur qui nous poursuit et donc par nécessité mais une fois installé tranquille on n’y tient plus voir ce qu’il y a de l’autre côté par peur même encore elle de s’enterrer aculé par ceux qui vous poussent dehors contraint forcé force de suggestion ordre subliminal n’importe quelle époque n’importe quel lieu bref question de convoitise de survie dos au mur c’est reparti ça se brouille s’embrouille s’en débrouiller franchir le cul-de-sac mortifère devancer l’inconnu et donc par nécessité sans cesse ça part et repart migrations successives à l’histoire tourmentée qui ne semble jamais vouloir s’apaiser ou le fantasme s’installe par nécessité par peur la curiosité de l’au-delà de l’autre côté ou plus haut ou plus bas aux confins toujours repoussés atteindre le ciel cet au-delà qui recule toujours cet être errant n’a jamais su s’abstraire se libérer en fait de la domination pour mieux dominer face à la peur dominatrice oui en quête d’absolu s’en rendre maître de ces obstacles sources originelles sources d’inspirations à toutes les fascinations sources de frontières mentales à l’imaginaire intarissable s’en construire des légendes avec deux regards deux positions deux dispositions se construire un cosmos osmotique (être) en équilibre avec la nature sources de vie ou sources de conflits être maître des origines jusqu’à en faire toute une histoire on y revient toujours à cette histoire quelle histoire avec un grand H la hache sanglante des mythes fondateurs s’en faire une gloire chacun de son versant de sa version de sa source s’approprie la gloire originelle et finalement s’y enferme dans l’ostracisme source de l’être suprême cette culture identitaire stabilité sécurisante à qui profite le crime justifier la maîtrise des obstacles naturels les déserts les forêts vierges les océans les montagnes les richesses qu’ils renferment sources de la vie expropriées par quelques-uns sources de conflits toujours plus meurtriers qui poussent au départ les sauve-qui-peut des damnés de la terre être errant en errance perpétuelle l’oblige à franchir des obstacles aujourd’hui fictifs mais non moins fatals ça n’en finit jamais c’est entêtant hier comme aujourd’hui le plus grand obstacle c’est lui-même possessif qui ne veut pas partager malgré notre désaccord philosophique nous redescendons ensemble jusqu’au col sur le même chemin que nous avons emprunté pour monter au sommet
nota benela version ci-dessus est le dernier état du poème que nous connaissons ;elle figure dans un fichier Word portant la date du 9 février 2018 (V5),il existe cependant quatre versions antérieures figurant dans des fichiers Word du 6 août 2017 (V1), du 16 août 2017 (V2), du 17 août 2017 (V3) du 2 décembre 2017 (V4) à la fin de V2 et de V3, figurent les mentions temporelle et géographique 4 août 2017 Saint-Jacques-des-Blats V1 est nettement plus courte que les quatre autres versions ; V2 et V3 sont relativement proches, de même que V4 et V5 toutefois, les différences entre les versions pouvant être importantes il nous a semblé qu'indiquer les variantes rendrait la lecture extrêmement ardue ; nous avons donc préféré, malgré la longueur du poème, donner ci-après les quatre autres versions dans leur intégralité V1 nous arrivons au sommet. chacun regarde dans deux directions différentes. deux directions opposées. l’un vers l’aval l’horizon des plaines dégagées l’autre vers l’amont la source des vallées les cirques glaciaires cerclés de leurs crêtes qui se dressent tels des remparts des murailles festonnées qui ferment l’horizon même si l’une de ses murailles plus marquée par le temps laisse entrevoir un couloir de dégagement vers l’horizon de la plaine au nord-est regards aux positions et dispositions différentes l’ouverture de la plaine fermeture de la muraille oppressive crêtes fertilisatrices sources de la vie qui alimentent les vallées ces remparts murailles venues des entrailles du tréfonds de la terre ciselées au fil des âges glaciaires minéralisant alluvionnant les plaines les vallées ces phénomènes naturels infranchissables au même titre que les fleuves les mers les océans les forêts opaques toujours l’homme les a franchis la curiosité étant la plus forte oui la peur semble avoir toujours cédé à la curiosité et même peut-être surtout et avant tout à la nécessité mais une fois installé tranquille voir ce qu’il y a de l’autre côté par peur même devancer l’inconnu et donc par nécessité ou le fantasme la curiosité de l’au-delà de l’autre côté ou plus haut atteindre le ciel cet au-delà qui recule toujours cet être errant n’a jamais su faire autrement se résoudre se libérer en fait oui cette quête d’absolu s’en rendre maître de ces obstacles de ces sources originelles sources d’inspirations à toutes les imaginations sources de frontières mentales à l’imaginaire intarissable s’en construire des légendes avec deux regards deux positions deux dispositions se construire un cosmos osmotique être en équilibre avec cette nature sources de vie ou se rendre maître des origines jusqu’à en faire toute une histoire avec un grand H la hache sanglante des mythes fondateurs s’en faire une gloire chacun de son versant de sa version de sa source s’approprie cette gloire originelle et finalement s’y enferme dans l’ostracisme de sa source de l’être supérieur cette culture identitaire qui justifie la propriété des obstacles naturels les déserts les forêts vierges les océans les montagnes sources de la vie sources de conflits toujours plus meurtriers qui remet toujours cet être errant en errance l’oblige à franchir des obstacles mais hier comme aujourd’hui la plus grand obstacle c’est lui-même V2 nous arrivons au sommet. chacun regarde dans deux directions différentes. deux directions opposées. l’un vers l’aval l’horizon des plaines dégagées l’autre vers l’amont la source des vallées les cirques glaciaires cerclés de leurs crêtes qui se dressent tels des remparts des murailles festonnées qui ferment l’horizon même si l’une de ses murailles plus marquée par le temps laisse entrevoir un couloir de dégagement vers l’horizon de la plaine de l’autre côté regards aux positions et dispositions différentes l’ouverture de la plaine fermeture de la muraille oppressive frontières naturelles par définition faites pour être franchies une nouvelle naissance faîtes à bassins multiples pyramides à la naissance des berceaux verseaux sources de la vie qui alimentent les vallées ces remparts murailles venues des entrailles du tréfonds de la terre ciselées au fil des âges glaciaires minéralisant alluvionnant les plaines les vallées ces phénomènes naturels infranchissables au même titre que les fleuves les mers les océans les forêts opaques toujours l’homme les a franchis la curiosité étant la plus forte découvrir de l’autre côté devancer l’inconnu nouveau monde nouvel horizon dégagé ou fermé terrain vierge ah non désolé ah mince pas le choix enfin si 2 choix 2 visions 2 positions bienvenu passez votre chemin poussez-vous que j’m’y mette retourner d’où l’on vient oui face à la peur qui nous poursuit et donc par nécessité les intempéries les hordes barbares franchir l’horizon fermé affronter la descente l’autre côté la peur la nécessité l’inconnu s’y confronter mais une fois installé ou désinstallé tranquille pour un temps dirons-nous un nouvel horizon toujours voir ce qu’il y a de l’autre côté de l’horizon par nécessité par peur encore elle des intempéries des hordes barbares de s’enterrer aculé par ceux qui vous poussent qui poussent naissent dos au mur c’est reparti ça se brouille s’embrouille s’en débrouiller franchir le cul-de-sac mortifère l’horizon ouvert ou fermé les apparences sont trompeuses on le voit bien les obstacles sont ailleurs en fait invisibles métaphysiques ou matérialiste par nécessité par peur les hordes barbares les intempéries la famine devancer l’inconnu ça se répète migrations successives à l’histoire tourmentée qui ne semble jamais vouloir s’apaiser ou le fantasme s’installe par nécessité par peur toujours la soif de l’au-delà de l’autre côté ou plus haut ou plus bas aux confins toujours repoussés atteindre le ciel des pyramides cet au-delà inatteignable cet être errant n’a jamais su faire autrement se résoudre se libérer en fait en quête d’absolu toujours se rendre maître des obstacles sources originelles sources d’inspirations à toutes les fascinations sources de frontières mentales à l’imaginaire intarissable s’en construire des légendes avec deux regards deux positions deux dispositions se construire un cosmos osmotique être en équilibre avec la nature sources de vie ou sources de conflits être maître des origines jusqu’à en faire toute une histoire l’histoire toujours des peurs des nécessités les intempéries les famines les guerres les hordes infidèles les persécutions religieuses les famines quelle histoire avec un grand H la hache sanglante des mythes fondateurs s’en faire une gloire chacun de son versant de sa version de sa source s’approprie la gloire originelle et finalement s’y enferme dans l’ostracisme source de l’être suprême justifier la maîtrise des obstacles naturels culture gominée d’une élite majeure aux chefs nominés au boute-en-train des peuples mineurs par peur par nécessité les intempéries les hordes infidèles les guerres les persécutions religieuses les famines autoflagellation commanditée par une minorité mais alors sacré sac de nœuds antienne de l’histoire ancienne qui tourne à vide de travers les déserts les forêts les océans les montagnes les richesses qu’ils renferment sources de la vie sources de conflits toujours plus meurtriers être errant en errance perpétuelle ne sait s’affranchir d’entraves imaginaires par peur par nécessité ça bloque ça n’en finit jamais c’est entêtant cessons cette gabegie comment y croire hier comme aujourd’hui le plus grand obstacle nous l’avons bien compris c’est lui-même frontière du possessif qui ne veut pas partager par peur par nécessité par cécité égotique oui la ritournelle des obstacles matériels comme fatalité inique mon œil nos regards finissent par se croiser malgré notre point de vue différent je regarde dans sa direction lui dans la mienne et nous redescendons ensemble jusqu’au col par le même chemin que nous avons emprunté pour monter au sommet
Trouver de nouveaux points de vue moins schématiques 4 août 2017 Saint-Jacques-des-Blats. V3 nous arrivons au sommet. chacun le regard pointé dans deux directions différentes. deux directions opposées. l’un vers l’aval l’horizon des plaines dégagées l’autre vers l’amont la source des vallées les cirques glaciaires cerclés de leurs crêtes qui se dressent tels des remparts des murailles festonnées qui ferment l’horizon même si l’une de ces murailles plus marquée par le temps laisse entrevoir un couloir de dégagement vers l’horizon de la plaine de l’autre côté regards aux positions et dispositions différentes l’ouverture de la plaine fermeture de la muraille oppressive frontières naturelles par définition faites pour être franchies une nouvelle naissance faîtes à bassins multiples pyramides à la naissance des berceaux verseaux sources de (la) vie qui alimentent les vallées ces remparts murailles venues des entrailles du tréfonds de la terre ciselées au fil des âges glaciaires minéralisant alluvionnant les plaines les vallées ces phénomènes naturels infranchissables au même titre que les fleuves les mers les océans les forêts opaques toujours l’homme les a franchis la curiosité étant la plus forte découvrir de l’autre côté devancer l’inconnu nouveau monde nouvel horizon dégagé ou fermé terrain vierge ah non désolé ah mince pas le choix enfin si 2 choix 2 visions 2 positions bienvenu passez votre chemin poussez-vous que j’m’y mette retourner d’où l’on vient oui face à la peur qui nous poursuit et donc par nécessité les intempéries les hordes barbares franchir l’horizon fermé affronter la descente l’autre côté la peur la nécessité les intempéries l’inconnu v’là les barbares s’y confronter mais une fois installé ou désinstallé tranquille pour un temps dirons-nous un nouvel horizon toujours voir ce qu’il y a de l’autre côté de l’horizon par nécessité par peur encore elle des intempéries des hordes barbares de s’enterrer aculé par ceux qui vous poussent qui poussent naissent dos au mur c’est reparti ça se brouille s’embrouille s’en débrouiller franchir le cul-de-sac mortifère l’horizon ouvert ou fermé les apparences sont trompeuses on le voit bien les obstacles sont ailleurs en fait invisibles métaphysiques et pourtant la nécessité la peur les hordes barbares les intempéries la famine pourquoi qui se répète chercher ailleurs devancer l’inconnu migrations successives à l’histoire tourmentée qui ne semble jamais vouloir s’apaiser ou le fantasme s’installe par nécessité par peur toujours la soif de l’au-delà de l’autre côté ou plus haut ou plus bas aux confins toujours repoussés atteindre le ciel des pyramides cet au-delà inatteignable cet être errant n’a jamais su faire autrement se résoudre se libérer en fait en quête d’absolu toujours se rendre maître des obstacles sources originelles sources d’inspirations à toutes les fascinations sources de frontières mentales à l’imaginaire intarissable s’en construire des légendes avec deux regards deux positions deux dispositions se construire un cosmos osmotique être en équilibre avec la nature sources de vie ou sources de conflits être maître des origines jusqu’à en faire toute une histoire l’histoire toujours des peurs des nécessités les intempéries les famines les guerres les hordes infidèles les persécutions religieuses les famines devancer l’inconnu en quête de conquêtes pour apaiser les foules quelle histoire avec un grand H la hache sanglante des mythes fondateurs s’en faire une gloire chacun de son versant de sa version de sa source s’approprie la gloire originelle et finalement s’y enferme dans l’ostracisme source de l’être suprême justifier la maîtrise des obstacles naturels culture gominée d’une élite majeure aux chefs nominés au boute-en-train des peuples mineurs par peur par nécessité les intempéries les hordes infidèles les guerres les persécutions religieuses les famines envie d’ailleurs autoflagellation commanditée par une minorité mais alors sacré sac de nœuds antienne de l’histoire ancienne qui tourne à vide de travers les déserts les forêts les océans les montagnes les richesses qu’ils renferment sources de la vie sources de conflits toujours plus meurtriers l’être errant en errance perpétuelle ne sait s’affranchir d’entraves imaginaires par peur par nécessité ça bloque ça n’en finit jamais c’est entêtant cessons cette gabegie comment y croire hier comme aujourd’hui le plus grand obstacle nous l’avons bien compris c’est lui-même frontière du possessif qui ne veut pas partager par peur par nécessité par cécité égotique oui la ritournelle des obstacles matériels comme fatalité inique mon œil nos regards finissent par se croiser malgré notre point de vue différent je regarde dans sa direction lui dans la mienne et nous redescendons ensemble jusqu’au col par le même chemin que nous avons emprunté pour monter au sommet
Trouver de nouveaux points de vue moins schématiques 4 août 2017 Saint-Jacques-des-Blats. V4 nous arrivons au sommet. chacun regarde dans deux directions différentes. deux directions opposées. l’un vers l’aval l’horizon des plaines dégagées l’autre vers l’amont la source des vallées les cirques glaciaires cerclés de leurs crêtes qui se dressent tels des remparts des murailles festonnées qui ferment l’horizon même si l’une de ces murailles plus marquée par le temps laisse entrevoir un couloir de dégagement vers l’horizon de la plaine de l’autre côté regards aux positions et dispositions différentes l’ouverture de la plaine fermeture de la muraille oppressive frontières naturelles par définition faites pour être franchies une nouvelle naissance faîtes à bassins multiples naissance des berceaux verseaux sources de la vie qui alimentent les vallées ces remparts murailles venues des entrailles du tréfonds de la terre ciselées au fil des âges glaciaires minéralisant alluvionnant les plaines les vallées ces phénomènes naturels infranchissables au même titre que les fleuves les mers les océans les forêts opaques toujours l’homme les a franchis la curiosité étant la plus forte plonger traverser s’immerger découvrir de l’autre côté l’autre versant l’autre matière |l’autre lumière l’autre densité l’autre univers nouveau monde monde vierge ah non désolé ah mince pas le choix oui face à la peur qui nous poursuit et donc par nécessité mais une fois installé tranquille voir ce qu’il y a de l’autre côté par peur même encore elle de s’enterrer aculé par ceux qui vous poussent dos au mur c’est reparti ça se brouille s’embrouille s’en débrouiller franchir le cul-de-sac mortifère devancer l’inconnu et donc par nécessité sans cesse ça part et repart migrations successives à l’histoire tourmentée qui ne semble jamais vouloir s’apaiser ou le fantasme s’installe par nécessité par peur la curiosité de l’au-delà de l’autre côté ou plus haut ou plus bas aux confins toujours repoussés atteindre le ciel cet au-delà qui recule toujours cet être errant n’a jamais su faire autrement se résoudre se libérer en fait oui en quête d’absolu s’en rendre maître de ces obstacles sources originelles sources d’inspirations à toutes les fascinations sources de frontières mentales à l’imaginaire intarissable s’en construire des légendes avec deux regards deux positions deux dispositions se construire un cosmos osmotique être en équilibre avec la nature sources de vie ou sources de conflits être maître des origines jusqu’à en faire toute une histoire on y revient toujours à cette histoire quelle histoire avec un grand H la hache sanglante des mythes fondateurs s’en faire une gloire chacun de son versant de sa version de sa source s’approprie la gloire originelle et finalement s’y enferme dans l’ostracisme source de l’être suprême cette culture identitaire justifier la maîtrise des obstacles naturels les déserts les forêts vierges les océans les montagnes les richesses qu’ils renferment sources de la vie sources de conflits toujours plus meurtriers être errant en errance perpétuelle l’oblige à franchir des obstacles ça n’en finit jamais c’est entêtant mais hier comme aujourd’hui le plus grand obstacle c’est lui-même être possessif qui ne veut pas partager malgré notre désaccord philosophique nous redescendons ensemble jusqu’au col sur le même chemin que nous avons emprunté pour monter au sommet éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc
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