Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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les narcisses se mirent déjà reflets en coins-coins farceurs des étangs parisiens
les narcisses se mirent déjà reflets en bec de canard barbotant dans l’eau des étangs au son d’un coin-coin farceur
les narcisses se mirent déjà reflets en coins-coins farceurs des étangs parisiens
les narcisses s’admirent déjà en coins-coins facétieux des étangs parisiens
les narcisses — pied de bec de canard — s’admirent déjà seuls échos de leurs reflets les coins-coins facétieux des étangs parisiens
les narcisses aussi nommés pied de bec de canard s’admirent déjà seuls échos à leurs reflets les coins-coins farceurs des étangs parisiens
tu ne verras pas les Narcisses qui déjà s’admirent en leur reflet indifférent à l’écho des coins-coins moqueurs du vis-à-vis ainsi troublé dommage monsieur le casanier
le camélia rougit-il toujours du jaune indifférent qui corolle en prémices Narcisse s’admirant en bec de canard (au son des) sous les coins-coins moqueurs qui viennent troubler de leur sillon le reflet tant convoité
nota benela version ci-dessus est le seul état du poème que nous connaissons ;elle existe à l'identique dans deux fichiers Worddu 3 mars 2014 et du 16 juin 2014 à la fin des deux fichiers, figure la mention temporelle 17 février 2014 ; toutefois une ligne placée à la fin du poème indique (02/03/2014) cela pourrait signifier qu'une première version du poème, légèrement différente, aurait pu exister éric meyleuc 17 février 2014 inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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