1. ce poème est écrit à l’encre bleue dans le dernier
tiers de la cent-soixante-et-onzième page écrite
d’un livre de notes offert au poète lors du 27e
Salon du livre de Paris, en mars 2007 (le pays à l’honneur était l’Inde),
au format 13,5 cm x 19,6 cm,
relié en « toile Monceau Cachemire sur GTI »,
contenant 200 pages non lignées
(dont six pages de garde et de crédits, deux au début et
quatre à la fin), soit 100 feuilles, de couleur blanche,
au format 12,7 cm x 18,7 cm, mais dont les deux premières
feuilles ont été arrachées probablement avant de servir ;
ce livre de notes contient un grand nombre de poèmes, des
réflexions diverses, des aide-mémoire, des notes personnelles,
des notes prises à partir de lectures, le tout écrit entre
la fin de 2010 et le 20 octobre 2014,
la presque totalité des textes étant datés ; le dernier
texte daté, qui figure dans la cent-quatre-vingt-sixième page écrite du livre,
est précédé de la mention le 20/10/2014 ;
le poème que nous transcrivons ici n’est pas daté ;
toutefois, d’une part, il est postérieur au poème numéroté
286
dans la présente section de Poésie pour tous, daté
le 27/02/2014, lequel occupe la moitié supérieure
de la cent soixante-huitième page du livre de notes et,
d’autre part, il est antérieur à une note relative à un des points
du programme d’une liste constituée en vue des élections
européennes du 25 mai 2014, laquelle figure dans le troisième quart
de la cent-soixante-seizième page du livre de notes ;
aucun des textes entre le poème et la note indiqués n’est daté ;
nous pouvons donc considérer que le poème dont il est
question ici a été écrit entre les deux dates citées,
même si la note peut être antérieure à la date des
élections ;
par ailleurs, signalons que, dans le manuscrit, à gauche
du début du premier vers,
figure le début d’un mot que le poète a barré de plusieurs
traits qui le rendent illisible ;
notons enfin que ce poème suit une brève note écrite au
crayon noir relative au personnage de Ferrante
dans la pièce La Reine morte de Henry de
Montherlant ;
cette note, qui figure dans le deuxième tiers de la même
cent-soixante-et-onzième page,
se termine par un trait tiré également au crayon noir
