Pedro Vianna, avec Éric Meyleuc absent-présent, propose
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oui le problème de l’homme1 c’est d’être esclave de sa brutalité enfin c’est-à-dire2 je pense qu’il est esclave d’autre chose avant d’être esclave de sa brutalité
(d’accord avec emmanuelle k, p. 29 La voix des autres3
nota bene 1. ce poème est écrit à l’encre noire dans le dernier sixième de la soixante-dixième page écrite d’un livre de notes offert au poète lors du 27e Salon du livre de Paris, en mars 2007 (le pays à l’honneur était l’Inde), au format 13,5 cm x 19,6 cm, relié en « toile Monceau Cachemire sur GTI », contenant 200 pages non lignées (dont six pages de garde et de crédits, deux au début et quatre à la fin), soit 100 feuilles, de couleur blanche, au format 12,7 cm x 18,7 cm, mais dont les deux premières feuilles ont été arrachées probablement avant de servir ; ce livre de notes contient un grand nombre de poèmes, des réflexions diverses, des aide-mémoire, des notes personnelles, des notes prises à partir de lectures, le tout écrit entre la fin de 2010 et probablement la fin d’octobre 2014, la presque totalité des textes étant datés ; le dernier texte daté, qui figure dans la cent-quatre-vingt-sixième page écrite du livre, est précédé de la mention le 20/10/2014 ; le poème que nous transcrivons ici n’est pas expressément daté, mais il est écrit à la suite de l’embryon du poème numéroté 168 dans la section Les autres poèmes d’Éric Meyleuc de Poésie pour tous, lequel occupe les quatre derniers cinquièmes de la soixante-neuvième page écrite du livre de notes ainsi que les cinq premiers sixièmes de la soixante-dixième et qui est, lui, précédé de la date jeudi 30 juin [2011] ; les deux poèmes étant séparés par un court très horizontal sans qu’aucune indication temporelle soit indiquée ensuite, nous pouvons raisonnablement supposer qu’ils ont été écrits le même jour ; bien entendu, cela reste une supposition, le poème suivant, numéroté 214 dans la présente section de Poésie pour tous et qui commence à la soixante-onzième page, étant précédé de la date Dimanche 10 juillet [2011] ; par ailleurs, dans ce premier vers, l’homme est, comme souvent, abrégé en l’h ; peut-être pourrait-on lire l’humain 2. ce vers et les cinq suivants sont écrits de biais en montant, dans la marge de droite, en commençant à la hauteur du premier vers ; par ailleurs, dans le premier de ces vers, c’est-à-dire est abrégé en cad 3. dans le manuscrit, cette note est, faute de place à droite, écrite sur deux lignes et sans parenthèse fermante ; elle fait référence au n° 4, mai 2010, de la revue La Voix des Autres, dont le Cahier spécial (pp. 26-31) est consacré à la poète Emmanuelle K. ; en pages 29-31, figure le poème les brutes, extrait du Livre deuxième – Les Brutes du recueil-coffret Quand l’obéissance est devenue impossible, Le Krill éditeur / Les Éditions de la Différence, Paris, septembre 2008 ; notons que nous n’avons acquis ce recueil d’Emmanuelle K. qu’en juin 2012 ; ce recueil-coffret est également cité dans le poème numéroté 252 dans la présente section de Poésie pour tous éric meyleuc inédit © ayants-droit d'Éric Meyleuc Retour en haut de la page |
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